L’idée de créer un cercle d’histoire locale est apparue en janvier 2012. Très vite, quelques passionnés se regroupent et décident de fonder une asbl afin de se structurer.
"Autour du Floyon" était né !
La vie associative est riche dans les villages de l’entité d’Onhaye, mais rien n’existait au niveau de la recherche, la mise en valeur et la transmission de l’histoire locale. Il y avait là un vide à combler et, rapidement, le cercle a trouvé sa place dans le paysage associatif et culturel local. Il se veut un lieu de rencontres et d'échanges entre les habitants, des alentours du Floyon (ou Flavion, ruisseau qui traverse plusieurs de nos villages) et d'ailleurs. Villageois depuis des générations ou villageois d'adoption, les points communs sont l'amour de la région, la volonté de connaître son histoire, son patrimoine et son folklore, et le désir de partager ceux-ci.
Pêle-mêle, on peut évoquer la mise sur pied d’expositions (14-18, la villa gallo-romaine d’Anthée, la balle-pelote, les arbres remarquables...), l’organisation de conférences (l’évolution de l’agriculture, l’étymologie régionale, le patrimoine de nos cimetières...), la mise sur pied de visites guidées souvent inédites (Gérin, le chantier de fouilles de la villa d’Anthée, Waulsort, Weillen aux flambeaux...), une convention avec la commune d’Onhaye pour valoriser les tombes remarquables dans nos cimetières, une forte implication dans les commémorations de 1914 (sortie d’un ouvrage, mise en évidence des lieux de mémoire dans la commune, travail avec les écoles...). Jetez un oeil à notre rubrique "Activités" pour découvrir celles-ci.
Ce travail est effectué avec enthousiasme et sérieux, bien que nous ne soyons pas des historiens professionnels. Quand cela est possible, nous n’hésitons pas à nous encadrer de quelques conseils de personnes de référence.
En devenant membre du cercle, vous contribuez à faire vivre une initiative qui a pour objectif premier de faire découvrir le patrimoine historique local. Et comme celui-ci n’a pas encore livré tous ses secrets, cela décuple notre raison d’être.